le phénomene continue
depuis 2005, partout en europe, la jeune génération a succombé à la tokio hotel mania. les quatre garçons de magdebourg n'en finissent plusde collectionner les tournées à guichets fermés, les disques d'or et de platine, mais aussi les émeutes de fans au bord d l'hystérie.
un succès qui n'est pas nouveau dans l'industrie du disque et qui rapelle à certains la folie des boys bands des années 1990 (take that, east 17, boyzone).
mais ne venez pas leur dire qu'il sont un boy band : les jumeaux bil (chant) et tom kaulitz (guitare), georg listing (basse) et gustav schÄfer (batterie) revendiquent le titre de groupe de rock crédible.
et c'est d'aileurs en partie sur scène qu'il ont gagné leur galons, remplissant des salle de plus de 10 000 personnes alors qu'il n'étaient même pas majeurs.
t(okio hotel, c'est un son pop rock bien particulier, mais également un look, essentiellement inspiré par le chanteur androgyne et glamrock. depuis ses premières apparitions, le groupe allemand divise,
a suivre